Liberté et psychologie 4/4 : L’illusion de la liberté
👉 La liberté ne serait-elle pas illusoire ?
Terminons, en deux actes, cette série de quatre posts sur Liberté et psychologie
👉 Acte 1 : Spinoza a écrit : « l’homme ignore les causes qui le déterminent ». En effet on se croit libre alors que si l’on regarde de prêt, une bonne partie du temps on ne suit que nos instincts (manger, dormir, boire respirer, se reproduire) tous commandés par cet ancestral cerveau 🧠 caché sous nos méninges. Or, à oublier cette dépendance on en tombe souvent épuisé 😰.
🤜 Alors, Libres ? Certes un peu mais pas autant qu’on se le pense.
On fait ce que l’on peut pas ce que l’on veut
👉 Acte 2. On rêve souvent de liberté et de solitude. C’est une idée. Une bonne idée ? Serions nous libres si nous étions seuls ?
Pas sûr du tout.
Lorsqu’on est seul, tranquille au fond des bois 🌳 dans son lit 🛌ou sur une plage paradisiaque 🏖, d’autres sont là pour nous, sans que l’on y pense 🤝.
🤜 Nous ne sommes jamais aussi libres que lorsque nous sommes entourés.
🤜 La force du collectif
👉 Par exemple, s’adonner à la méditation c’est aussi, pendant ce temps, déléguer à un autre la fourniture de notre nourriture, de nos soins, de notre protection.
Oui, l’être humain est tributaire de la fatalité de ses besoins fondamentaux et c’est par le collectif qu’il éprouve la liberté d’aller où il veut (une pensée d’Hegel).
C’est en abandonnant un peu de notre liberté, en étant en société, que nous nous extrayons de la dépendance au destin.
💪 Plus forts ensembles, plus vulnérables seuls.
A méditer
Bonne semaine à tous,
Yannick 🤘
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